Catégories : Hommes fessés
il y a 5 ans
J’avais une bonne dizaine d’années lorsque j’ai vécu la petite mésaventure que je vous raconte aujourd’hui.
Dans ma rue, habitait une famille nombreuse de douze e n f a n t s, filles et garçons. L’un d’eux de mon âge, Didier, était mon ami et, avec sa sœur Yolande notre aînée de deux ans, nous jouions souvent ensemble, notamment quand ma maman me laissait chez eux avant de se rendre à son travail.
J’étais donc sous la garde de Mme M., la maman de Didier. Je me souviens d’une fois, où Didier et moi jouions à la guerre en nous lançant des cailloux en évitant de nous faire mal, bien sûr.
Malheureusement, ce qui devait arriver arriva. Yolande qui passait au mauvais endroit au mauvais moment, se mit à hurler de douleur. Elle avait reçu en pleins sur la jambe le caillou que j’avais lancé. Aussitôt sa mère accourut et nous demanda ce qu’il s’était passé.
« On ne l’a pas fait exprès ! » nous défendîmes Didier et moi, non sans crainte.
La maman de Didier ne l’avait pas entendu de cette oreille, et elle nous ordonna de rentrer à la maison. A l’intérieur, il n’y avait personne à part Yolande.
J’avais un peu peur qu’elle ne nous punisse à sa manière. Didier me parlait souvent des fessées qu’il recevait chez lui. A l’écouter, elles me paraissaient bien plus redoutables que celles que j’avais reçues chez les bonnes sœurs, même celles que nous donnait la directrice avec son martinet. Je n’avais pas trop de peine à le croire car sa maman était une femme imposante dotée d’une forte carrure. A la seule vue de ses mains, je me disais que ça devait lui faire très mal quand il recevait la fessée car en plus elle lui baissait sa culotte.
Et bien que mes fesses en fassent parfois l’expérience, rien que le mot FESSÉE me terrorisait.
Quand elle lui demanda de s’approcher, il s’avança l’air penaud alors que ce n’était pas lui le fautif. Elle prononça la sentence :
« Tout d’abord, vous allez me copier cent fois « je ne dois pas jeter de caillou pour m’amuser » puis je verrai la seconde partie de votre punition. »
Un peu rassuré je m’installai à la table et commençai à écrire le pensum. Tandis que sa mère vaquait à la cuisine, Didier me chuchota quelques paroles qui me mirent la peur au ventre.
« Tu sais, je suis sûr que la seconde partie de la punition ce sera la fessée. Ça se termine toujours comme ça ici à la maison. On est douze e n f a n t s et elle ne perd pas son temps à discuter quand on lui désobéit. C’est la fessée même pour les plus grands ! »
Je frissonnais, m’eff o r ç a nt de ne pas le croire, mais de la cuisine sa mère, qui avait dû nous entendre, nous menaça de sa gosse voix.
« Faites votre punition en silence ! Je ne veux rien entendre, sinon je vais me fâcher et pour de bon ! »
Didier ne tint pas compte de cette menace et, comme pour me tranquilliser, me précisa en parlant encore plus bas :
« Ne t’inquiète pas Herbert. Une fessée déculottée ça fait très mal sur le moment, mais après tu es pardonné et tu n’y penses plus. »
Je dois dire qu’avec la certitude d’en recevoir une, je ne fus pas plus rassuré.
Nos pages d’écriture terminées, Mme M. vérifia que le compte y était.
« J’espère que vous avez compris la leçon ? »
« Ouiiiii !» nous répondîmes à l’unisson de nos petites voix de soprano.
Je pensais que nous étions quittes, mais elle demanda à Didier de placer une chaise au milieu du salon.
« Herbert, m’interpella-t-elle, quand tu verras ton camarade sur mes genoux tu comprendras ce qui t’attend toi aussi. »
Sa voix était aussi calme que si elle m’avait dit de retourner jouer dehors.
Je sentis le regard de Yolande sur mon visage qui devait commencer à rougir en voyant sa mère s’asseoir sur la chaise et empoigner Didier pour l’attirer contre ses genoux. J’allais sûrement subir le même sort.
« Didier, tu m’as désobéi car tu savais très bien que j’interdis de lancer des cailloux, surtout quand ta sœur est tout près. Vous avez failli la blesser sérieusement. Je vais donc te donner une bonne fessée. Alors baisse ton pantalon et ton slip ! » le sermonna-t-elle.
« Mais Maman… » pleurnicha mon camarade.
« Il n’y a pas de mais qui tienne ! Déculotte-toi immédiatement sinon gare à tes fesses, je double la mise ! »
Yolande s’assit à côté de moi, l’air très intéressée. J’eus un coup au cœur et me sentis très gêné car il devenait évident qu’elle resterait là et qu’elle verrait mes fesses nues et mes attributs comme elle voyait les fesses nues de son frère qui avait fini de se déculotter.
C’était la première fois que je voyais sa lune et je trouvais qu’elle était aussi brillante, blanche et lisse que notre astre de nuit. La seconde d’après, elle pointait en l’air sa resplendissante nudité alors que Didier était affalé en travers des fortes cuisses de sa mère.
Puis, j’aperçus qu’elle retournait un sablier posé à même le sol. J’appris après que c’était le sablier assurant le décompte des trois minutes nécessaires pour cuire un œuf à la coque et que c’était le rituel habituel pour les fessées.
Tout à coup le bruit clair et fort d’une main frappant la chair molle emplit le salon. Ce n’était que le début d’une fessée qui s’annonçait très longue et sévère. Cramponné à ma chaise, je voyais les fesses de Didier tressauter l’une après l’autre sous les claques.
Rapidement, mon camarade se mit à gémir et à implorer sa mère qui restait insensible à ses manifestations de repentir avec, en écho, la preuve sonore de la terrible efficacité des claques.
Le sablier semblait s’écouler avec une lenteur désolante alors que, Didier allongé sur les cuisses de sa maman, sa tête près du sol, sa culotte et son slip pendant autour de ses chevilles, ne pouvait pas voir ses fesses passer du blanc immaculé aux nuances de rose jusqu’au rouge vif.
La fessée continuait au rythme régulier des claques de cette main en forme de battoir qui, à présent, était en train d’assortir la couleur des cuisses au pourpre qui rougissait la petite paire de fesses tout entière de mon camarade.
Le bruit des claques s’arrêta net lorsque l’ampoule du haut du sablier se fut définitivement vidée de son contenu rouge dans l’ampoule du bas.
Didier se releva avec peine. Il hoquetait de bref s a n g lots et sans même penser à remonter sa culotte ni à prendre garde à notre présence, alla se mettre de lui-même au coin et commença à frictionner ses fesses endolories.
Un nœud dans ma gorge, le cœur battant, j’entendis une petite voix intérieure me susurrer : « Herbert, c’est ton tour à présent !… Et comme c’est toi qui as lancé le caillou sur Yolande, Mme M. va encore te fesser avec plus de sévérité ! ».
Pris de panique, je demandai pardon à Yolande pensant attendrir sa mère. Elle me regarda d’un air surpris, mais je vis bien dans ses yeux que ma prière peureuse l’amusait plutôt qu’elle ne la peinait.
« Dépêche-toi Herbert. C’est surtout toi le coupable. Tu n’es pas mon fils, mais il n’y a aucune raison pour que tu échappes à ta fessée ! Tu l’as bien plus méritée que lui ! »
Comme attiré par un aimant, guidé par sa voix ferme, j’avançai vers cette femme qui m’empoigna aussitôt.
Quand je sentis ses mains agripper la ceinture élastique de mon short et commencer à l’abaisser autour de mes hanches, j’eus un sursaut de pudeur. Plus impérieuse que la crainte de la fessée était la présence de Yolande dont le regard brillant de satisfaction était rivé sur moi.
« Mais… il… y a… Yolande ! » m’étranglai-je effaré.
« Et alors ? C’est bien toi qui as failli la blesser ! Normal qu’elle assiste à ta fessée. Tu as honte de lui montrer tes fesses ? De toute façon, des petits robinets comme le tien elle en a vu déjà plein d’autres avec tous ceux de ses frères ! »
A cet instant, j’eus conscience que toute tentative de lui résister serait vaine. Je l’entendis vaguement me menacer de passer plus de temps sur ses genoux si je ne me laissais pas faire, mais ma tête était ailleurs, tout à la pensée que la jolie Yolande que j’aimais bien en secret allait me voir tout nu.
C’est dans cet état d’esprit que je sentis l’air frais caresser mon ventre et mon postérieur nus avant de basculer en travers des fortes cuisses de Mme M. Je devais probablement pleurnicher car elle me dit au moment même où une première claque faisait vibrer l’une de mes petites fesses :
« Garde tes larmes pour tout à l’heure, Herbert ! »
La grosse main de cette femme était à la fois forte et leste, ce qui donnait à ses claques un effet de morsure particulièrement cinglant. Elle frappait une fesse après l’autre à un rythme soutenu, comme jamais je n’avais été fessé. Au tout début, je serrais les dents tout en gigotant comme un petit diable pour am o r t ir les impacts, trop fier pour montrer à Yolande que ça commençait à me faire très mal. J’étais sûr qu’elle n’en perdait pas une miette et qu’elle se réjouissait de voir mes fesses prendre une teinte cramoisie comme celles de son frérot.
Mais rapidement, cette cuisson submergea mes pensées qui se tournèrent alors vers la défense exclusive de mon pauvre postérieur en danger d’explosion !
La fessée paraissait durer une éternité. J’essayais de tortiller mon croupion pour parer à l’avalanche, mais on aurait dit que la main, comme pilotée par un radar, tombait pile sur la fesse que j’espérais avoir escamotée.
Dans le salon, le bruit des claques était amplifié et je m’effrayais de savoir que cela coïncidait précisément avec le tremblement de la fesse punie. La cuisson l’emporta et je me lâchai d’un coup, hoquetant de s a n g lots à en perdre haleine.
Il devenait évident que le martinet n’était rien à comparer de la large main de Mme M. qui épousait la totalité de mes joues fessières en y laissant une nouvelle couche de braises.
Le souffle court, j’implorai ma fesseuse, certain que le sablier s’était encrassé. Cette fois, elle m’entendit car, après une dernière salve de deux formidables paires de claques qui assaisonnèrent le haut de mes cuisses, la fessée cessa.
« Le compte y est ! Herbert, tu vas me promettre de ne plus t’amuser à lancer des cailloux. Si tu me désobéis, tes fesses te chaufferont comme maintenant. Tu les sens te cuire ? Demande donc à Yolande de quelle couleur elles sont maintenant !… »
Tandis qu’elle me houspillait dans un mélange de questions et d’observations, elle m’avait remis debout et, devant Yolande, remontait lentement, bien trop lentement à mon gré, mon slip et mon short sur ma nudité brûlante.
Entre de brefs s a n g lots, je tentais de bafouiller des réponses qui la satisferaient, désespérant de m’enfuir du salon pour cacher ma honte.
Mais, contre toute attente, elle me prit dans ses bras et changea de ton pour me dire que ma bêtise était pardonnée.
A la fin de l’après-midi, ma mère passa me reprendre. Ella apprit ce qu’il s’était passé et approuva la maman de Didier de m’avoir puni d’une fessée. Elle me conduisit jusqu’à la voiture en me tirant par une oreille.
.................
A près de cinquante-quatre ans, je me souviens parfaitement de la fessée magistrale que m’avait flanquée la maman de Didier. Surtout du sable rose qui n’en finissait plus de se vider alors que mes fesses en feu avaient dépassé depuis longtemps ce qu’il y a d’humainement supportable.
J’étais encore en pleurs quand ma mère me tira par l’oreille jusqu’à la voiture. Cela me faisait mal mais pas autant que ce qui m’attendait probablement à la maison.
Tout en conduisant, Maman ne dissimulait pas sa colère, me couvrait de reproches et je me défendais mal.
« Mais Maman, c’était un accident ! On ne voulait pas lancer des cailloux sur Yolande ! On n’a pas fait exprès ! La maman de Didier n’a pas voulu nous croire ! C’est pour ça qu’elle nous a punis de 100 lignes à copier et d’une fessée déculottée ! »
Et je n’étais pas encore au bout de tes peines !
« Ce n’est pas encore fini pour toi, Herbert ! »
J’en frissonnais d‘avance car je compris au ton de sa voix qu’une nouvelle fessée m’attendait.
« File dans ta chambre, on verra cela plus tard ! »
Là, je m’allongeai à plat ventre sur mon lit. Mes fesses cuisaient encore et elles devaient être cramoisies. Le plus dur fut d’attendre dans l’incertitude. Quand reviendrait-elle ? Allait-elle changer d’avis et me laisser tranquille ?
Tout à coup on sonna à la porte. C’était Tony un autre copain de la rue. A douze ans, il recevait régulièrement le martinet à cause de ses nombreuses incartades. Je courus à la porte que j’entrebâillai et tendis l’oreille espérant de toutes mes f o r c e s que sa venue ferait diversion.
« Bonjour Madame ! Herbert peut venir jouer avec nous ? »
« Pas aujourd’hui, Tony ! Ton copain est puni à cause d’une vilaine bêtise chez Didier. Là-bas, leur maman lui a donné une bonne fessée. Il est ici en pénitence dans sa chambre et il ne va pas tarder à recevoir une seconde fessée de ma part. Il pourra jouer demain avec toi s’il est sage. »
À la fois désillusionné, et définitivement résigné à ce que mes fesses y aient de nouveau droit, je m’apprêtais à refermer la porte pensant que Tony repartait, mais une réflexion de Maman me tint en alerte.
« Attends une minute Tony ! C’est quoi ces zébrures rouges sur tes cuisses ? Tu n’aurais pas encore reçu le martinet par hasard ? »
« Si Madame ! Tout à l’heure mon ballon a cassé un carreau de la fenêtre de la salle à manger et fait exploser le vase qui était derrière. C’était un souvenir de ma grand-tante et ma mère était furieuse parce qu’elle m’avait toujours interdit de jouer au ballon à côté des fenêtres. »
« Ta maman a certainement eu raison. Quand on désobéit à une maman, on est puni. Tu sais qu’ici nous n’avons pas de martinet. Mais comme Herbert a bien grandi et a de plus en plus tendance à n’en faire qu’à sa tête, je me demande si je ne devrais pas en acheter un à la D r o g u e rie pour le fouetter au lieu de le fesser, comme ta maman le fait avec toi et tes frères… »
J’écoutais en frémissant comme si j’étais non pas le simple témoin de cet échange mais le principal acteur de la punition à venir. Tony avait deux frères cadets et une sœur aînée. Si sa famille comptait moins d’e n f a n t s que celle de Didier, je puis dire que les deux mères se ressemblaient pour leur aptitude à sévir et que même sa grande sœur continuait à recevoir la fessée, ce qui me faisait un drôle d’effet !
« Oh Madame ! Maman nous donne aussi la fessée culotte baissée, comme vous pour punir Herbert ! Et sans la culotte ça fait presque aussi mal que le martinet. Elle prend le martinet surtout pour les grosses bêtises ou quand elle n’a pas le temps de nous déculotter. Elle nous fouette alors sur les cuisses et les mollets. »
« Pour Herbert, c’est seulement la fessée pour l’instant, mais tu peux me croire qu’après il file droit. Allez, Tony, n’oublie pas de dire bonjour à ta maman de ma part ! »
Quand Maman eut refermé la porte d’entrée un long temps s’écoula avant que je n’entende ses pas dans l’escalier. Aussitôt une boule me noua l’estomac. Elle allait dans sa chambre, ce n’était donc pas encore pour moi.
Savoir que l’on va être puni une deuxième fois sans savoir quand, est un véritable supplice. Comme j’entendais pleurer au dehors, j’ouvris la fenêtre et m’accoudai. C’était ma cousine qui était aussi notre voisine. Avait-elle reçu une fessée elle aussi ou s’était-elle fait mal ? Je le saurai de toute façon puisqu’elle me racontait tout. J’en ferai peut-être un récit.
Tout à coup je me sentis saisi par une oreille.
« À nous deux mon garçon ! Si je te mets en pénitence dans ta chambre ce n’est pas pour que tu regardes dehors ! »
Cette fois, c’était cuit ! Tandis qu’elle me tirait par l’oreille jusqu’à la chaise de mon bureau qu’elle déplaça au centre de ma chambre, je couinais comme un petit goret ! J’avais bien droit à une seconde fessée ! Maman eut vite fait de me déculotter ! Ma culotte courte à ceinture élastique et mon slip à mes chevilles, elle me fit me coucher en travers de ses genoux, ma paire de fesses sans la moindre protection contre les claques de sa main.
Quand elle eut remonté ma chemisette au-dessus de mes reins pour dégager mon postérieur de tout obstacle et qu’elle ceintura ma taille sous son bras gauche, je me mis à s a n g loter.
« Pardon, Maman, pardon ! Nooon ! »
Elle me sermonna sur ma bêtise, raison pour laquelle je devais recevoir une seconde fessée. Je lui fis toutes les promesses que tout garçon, sa culotte baissée et sur le point d’être fessé ne manque pas de faire en désespoir de cause ! Pourtant, j’avais appris qu’à côté de la terrible maman de Didier, j’avais moins à craindre de la mienne nettement mois sévère.
Ma fessée démarra en trombe. Deux claques sur chaque fesse puis deux autres sur chaque cuisse, juste dans la pliure. Et pas n’importe quelles claques ! Frappant un derrière déjà puni, en quelques secondes elles réveillèrent la cuisson que je croyais définitivement apaisée.
Par réflexe, je repliai mes jambes presque à hauteur de mes fesses. Je mis toutes mes f o r c e s à gigoter et à implorer. Et nulle comédie ! Malgré sa finesse, la main de Maman faisait autant de ravages sur mes fesses surchauffées que le battoir servant de main à la maman de Didier.
Je compris que ma fessée irait jusqu’à son terme, c’est-à-dire quand Maman jugerait que je pleurais de vraies larmes.
« Que ceci te serve de leçon Herbert. Quand tu es invité chez des amis, tu dois veiller à bien te tenir et encore mieux qu’à la maison ! Mets-toi debout que je remonte ta culotte ! »
Je dus demander pardon à Maman qui sécha mes larmes et me promit de ne rien dire à Papa si j’étais sage jusqu’à l’heure du dîner. Elle me permit de rester dans ma chambre pour attendre que les élancements de cette seconde fessée se soient calmés.
À partir de ce jour-là, je pris garde à ne plus faire de bêtises quand j’étais invité chez Didier. Certains souvenirs sont plus vifs que d’autres, surtout quand ils sont encore tout chauds dans le fond de la culotte !
Herbert
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